Prénom: Azaro
Nom: Pride
Âge: 30 ans
Nation: Demacia

Caractère

Bien qu'il soit un très grand fan de l'alcool sans pour autant être un ivrogne, Azaro reste quelqu'un de sage, capable de prodiguer d'excellents conseils de vie tout en titubant sous les effets de sa bouteille. Il boit souvent, ce n'est pourtant pas pour se saouler, il dit toujours apprécier la douce brûlure que procurait l'alcool. Azaro aime de la bonne compagnie, et aime particulièrement se retrouver avec des gens plus jeunes que lui, pour qu'ils puissent les conseiller sur la complexité de cette vie. Il est du genre à sourire des blagues les plus drôles, et à se mettre en colère contre toute forme d'injustice. Il est inflexible dans ses décisions, et ne permet pas qu'une personne salisse le nom de Demacia. Sa perception des femmes ? Bien qu'Azaro ne puisse se retenir pas de fréquenter quelques bars de Demacia, il garde en tête que la femme constitue un élément perturbateur nuisant à la réussite de l'homme.

Histoire

Azaro a toujours été un enfant calme, grandissant dans les soins particulièrement attentionnés de son père, sa mère et sa grande sœur. Dès son plus jeune âge, il s'entrainait jour et nuit, et tout en grandissant, on pouvait voir chez lui, de par sa carrure, un homme, un vrai. Avant ses 15 ans, Azaro pouvait déjà briser une pierre à main nue et faire trembler les murs de sa maison d'un simple coup de poing, il représentait la force de sa famille, faisant la fierté des Pride que ce soit dans de petits tournois régionaux ou autres. Mais, sa vie allait changer, définitivement à cause d'une rencontre, une mauvais rencontre. Il fit la rencontre d'une jeune femme de laquelle il tomba éperdument amoureux, ce fut Katarina. Il l'avait rencontré et affronté dans une guerre Demacia-Noxus et malencontreusement, il ne pouvait cesser de penser à elle, un doux poison qu'il voulait lui-même consommer. Selon Azaro, il pouvait encore changer la jeune femme et lui faire comprendre que la cause pour laquelle luttait Noxus n'était qu'un vulgaire plan prônant l'anarchie et l'inégalité. Katarina fit semblant d'y croire, allant même jusqu'à s'offrir l'espace d'une nuit au jeune soldat Demacien, mais au cours de la nuit, alors qu'un liquide blanchâtre avait fini de couler dans l'épanouissement et la sensualité, ce fut le sang du jeune homme qui pissait dans le lit, coulant sur le sol. La jeune fille l'avait poignardé d'une dague tout en l'embrassant, puis avait pris la fuite en s'envolant par la fenêtre. Après la guerre, Azaro avait juré de ne plus aimer, mais... L'amour, parfois, s'avérait être impoli, et pénétrait les cœurs des gens sans même prendre la peine de frapper à la porte.